being influenced by frankfurt's electronic music scene and its legendary airport club "dorian gray", german sound mastermind DOUG LAURENT started deejaying back in 1985.shown on many occasions behind the turntables, he pushed crowds worldwide to experience a variety of emotions with his progressive but melodic trance style.doug also established himself as the worldwide renown producer of more than 350 released tracks, represented by over 80 international labels (both major and independents).in 1986, he founded his first digital midi recording studio together with CHRIS HUELSBECK, who lateron became one of the world's leading game soundtrack composers for titles such as INDIANA JONES, RESIDENT EVIL and STAR WARS.
Autour de la statue du taureau, à deux pas des arènes, un millier de personnes ont participé ce samedi 17 septembre au rassemblement pour la défense de la corrida et des traditions. Les airs enjoués de l'orchestre Chicuelo II n'ont pas fait oublier la gravité de l'instant.
ai no corrida midi
En effet, l'initiative de l'Union de la jeunesse taurine française et l'Union des jeunes de Provence et du Languedoc répondait ainsi à la proposition de loi portée par le député parisien Aymeric Caron (Nupes) visant à interdire la corrida en France. Puisque le parlementaire compte toucher à la "très grande force symbolique de la corrida", les aficionados de tous bords ont sorti les symboles.
Frédéric Pastor a précisé les raisons de cet attachement à l'univers du taureau de combat : l'aspect écologique, le maintien de la race brave, les retombées économiques, l'aspect culturel. "La corrida constitue l'une des plus solides expressions des peuples du midi !", a lancé l'élu.
Président de la Coordination des clubs taurins Roland Cecchi-Tenerini a pour sa part forcé sur sa voix, montrant son émotion : "Le taureau est la fête, le taureau est roi ! (...) Respectez-nous M. Caron ! Respectez ceux qui font vivre ganaderias et manades qui s'enracinent dans les profondeurs générationnelles. Elles embellissent nos territoires. Vous ne les ferez pas disparaître ! (...) Non, M. Caron, vous n'arriverez pas à abolir la corrida !"
Simon Casas, délégataire des arènes de Nîmes, a demandé même du respect : "Ceux qui ne connaissent pas la corrida, on peut les blâmer quand ils nous accusent d'être des sadiques, imbéciles, ignorants. Nous n'accepterons pas le diktat despotique de la pensée qui veut niveler tous les comportements hauts. Bientôt, ils voudront interdire aux chats de manger des souris ! (...) L'animal a des droits et nous les défendons, mais pas de devoir. Vouloir mettre à égalité l'homme et l'animal, comme le disait Hemingway, c'est être animal soi-même !"
Le sénateur Laurent Burgoa (Les Républicains), membre du groupe tradition locale au sénat qui regroupe 25 élus du Sud-est et et du Sud-ouest, va contacter dès lundi huit parlementaires gardois "mais pas Michel Sala de la Nupes". Ce dernier n'a pas fait connaître sa position. Pour Laurent Burgoa, il s'agit de convaincre les élus de tous bords à s'unir "pour mener ce combat pour la liberté. Nous gagnerons unis !" Le sénateur a indiqué qu'il fallait respecter Aymeric Caron, les adversaires de la corrida tout en étant offensif. Il envisage un rassemblement à Paris, devant l'Assemblée nationale, le 24 novembre, le jour de la présentation de la proposition de loi visant à interdire la corrida.
La corrida (en espagnol, corrida de toros , course de taureaux ) est une forme de course de taureaux consistant en un combat entre un homme et un taureau, à l'issue duquel le taureau est mis à mort ou, exceptionnellement, gracié (indulto). Elle est pratiquée essentiellement en Espagne, au Portugal, dans le Midi de la France et dans certains États d'Amérique latine (Mexique, Pérou, Colombie, Venezuela, Équateur et Bolivie).
Se déroulant dans des arènes, la corrida est un spectacle tauromachique issu d'une tradition qui remonte à Francisco Romero, dans la première moitié du XVIIIe siècle puisque sa forme actuelle, où la mise à mort est effectuée par le matador (tueur, de l'espagnol matar : tuer), à pied et armé de sa seule épée. Elle se déroule selon un rituel et des modalités bien fixés aujourd'hui, dont l'essentiel remonte à ceux définis par le matador Francisco Montes Paquiro , avec son traité de tauromachie de 1836, Tauromaquia completa.
Une corrida commence par un paseo, le défilé initial de tous les participants. Le combat se divise ensuite en trois parties, trois tercios ( tiers ) : au cours de la première partie, le tercio de pique, deux picadors affrontent le taureau et le blessent à l'aide d'une longue pique, ce qui permet à la fois de l'affaiblir et d'évaluer son comportement. Au cours du deuxième tercio, le tercio de banderilles, des banderilleros, voire le matador lui-même, plantent trois paires de banderilles dans le dos du taureau. Enfin, lors du troisième tercio (la mise à mort proprement dite), le matador, après une faena, une série de passes exécutées avec sa muleta, met à mort le taureau par l'estocade portée avec son épée.
Considérée par les aficionados et nombre de ses historiens comme un art, la corrida a inspiré de nombreux créateurs aussi bien en peinture, qu'en littérature, en musique et au cinéma. Cependant, dans un contexte où l'opposition à la corrida gagne du terrain, nombre de ses opposants l'assimilent à de la torture proposée en spectacle, et réclament son interdiction.
Les autorisations et interdictions de la corrida ont été fluctuantes au cours de l'histoire. En France, alternativement interdite et autorisée par les lois, elle est depuis 1951 légalement autorisée sur les parties du territoire où elle constitue une tradition ininterrompue, principalement le midi de la France. En Espagne, la corrida a été interdite en 2010 en Catalogne, mais elle est déclarée Bien d'intérêt culturel le 12 février 2013 par le Parlement espagnol. En Colombie, les maires n'ont plus le pouvoir d'interdire les corridas ; au Pérou, pays où elle est considérée comme faisant partie de l'histoire et de la tradition péruvienne, le tribunal constitutionnel du Pérou l'a déclarée bien de interés cultural le 12 mai 2011. Elle a été limitée en Équateur le 8 mai 2011 aux provinces Andines où elle est coutumière, celles de Pichincha, Chimborazo et Tungurahua.
Dans le langage courant, la corrida désigne de nos jours la course de taureaux telle qu'elle se pratique principalement en Espagne, au Portugal, en France et dans certains pays d'Amérique latine. Cependant, avant d'exister sous leur forme actuelle, les courses de taureaux ont connu en Espagne une longue histoire étalée sur de nombreux siècles.
C'est avec l'arrivée de l'impératrice Eugénie, d'origine espagnole, qu'apparaissent en France, à partir des années 1852-1853, les premières corridas[19] à partir desquelles la vogue de ce spectacle va se développer dans le pays, jusqu'à l'implantation d'arènes à Paris, à l'occasion de l'Exposition universelle de 1889[20].
La fin du XXe siècle voit une forte progression du nombre de corridas, encouragée par le tourisme[30], en même temps que s'accroît l'opposition à la corrida, freinée pour un temps par l'introduction du peto protecteur. Parmi les figures de ces dernières décennies, on compte les noms de El Cordobés , El Viti et Paco Camino. Puis viennent Francisco Rivera Paquirri , Antonio Chenel Antoñete , Paco Ojeda et Juan Antonio Ruiz Román Espartaco . Au début du XXIe siècle, les principales figuras ( têtes d'affiche ) sont Enrique Ponce et Julián López Escobar El Juli .
La corrida a continué à se développer au Venezuela malgré l'interdiction de 1894. Elle est aussi restée très populaire au Pérou avec la feria de Lima et les Arènes d'Acho, en Colombie avec les ferias de Manizales, Cali, Carthagène des Indes, Bogota, en Équateur avec les ferias de Quito, Riobamba[45]. sans que l'on puisse donner de document objectif sur ce pays. Au Panama, la corrida a été entièrement interdite le 15 mars 2012[46]. En ce qui concerne la Bolivie, la corrida a souvent lieu lors des grandes fêtes patronales[47], tandis qu'au Panama la loi 308 interdisant la maltraitance contre les animaux, votée le 15 mars 2012, proscrit la corrida[46].
En Colombie, le 31 octobre 2012, la cour constitutionnelle a jugé que les maires n'avaient pas le pouvoir d'interdire les corridas dans leur ville, sauf en cas de danger (arènes démontables ou improvisées)[49]. Le président Juan Manuel Santos a entendu les matadors Miguel Ángel Perera, El Juli, Luis Bolívar, Sébastien Castella, et Pepe Manrique[50] qui s'inquiétaient de l'interdiction des corridas à Bogota en juin dernier, devenue désormais illégale.
Le cas de Cuba est un peu particulier puisqu'il est lié à deux formes de colonisation : la colonisation espagnole, suivie de l'occupation américaine. L'interdiction de la corrida y est promulguée en 1899 par le général John R. Brooke, qui a pris le commandement de l'île, puis confirmée l'année suivante par le général Leonard Wood, son successeur, le 28 mai 1900[51]. Les Américains installés à la place des Espagnols remplacent ce spectacle relativement peu populaire par le baseball.
D'autre part, l'implantation de la corrida ne s'est pas révélée durable dans les pays du cône sud , c'est-à-dire en Uruguay, en Argentine, au Paraguay et au Chili, d'où elle a disparu aujourd'hui en pratique[44].
Une corrida formelle comprend en principe la lidia de six taureaux. Pour chacun d'entre eux, la lidia se déroule selon un protocole immuable. Ce protocole est décomposé en trois parties, appelées tercios[57].
Afin d'obtenir les qualités recherchées, les vaches reproductrices sont sélectionnées au cours d'une épreuve appelée tienta (ou tentadero) : la vache affronte un picador muni d'une pique dont la puya est beaucoup plus petite que celle utilisée en corrida. Si elle fait preuve d'une bravoure suffisante elle est alors toréée à la muleta par un matador qui profite de l'occasion pour s'entraîner. Souvent, le matador est suivi de toreros débutants qui essaient de se faire remarquer par les professionnels présents. 2ff7e9595c
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